Le féminin ?
Depuis sa création, l’APJL se laisse enseigner par cette question du féminin, comme ce qui noue la vie, la mort, l’amour…
Son essence est d’être une question et d’échapper à toute prise par le savoir. Il met chacun à l’épreuve de l’irreprésentable et donne chance à un autre mode de vivre ensemble qui consent : à l’altérité radicale de l’autre ; à la dévalorisation de la jouissance phallique pour s’ouvrir au « sans recours », au « pas-tout phallique » et à l’absence de garantie. Le féminin n’est-il pas aussi ce qui est à l’horizon d’une fin d’analyse ?
Des séminaires, des colloques, des journées des textes relancent cette question.