Deux perversions.

16 novembre 2013

Assemblée de Paris : la Perversion

Je suis parti pour ce travail du croisement des questions soulevées lors de l’assemblée les années passées sur le sujet et de ce à quoi elles ont fait écho pour moi dans ce que nous travaillons sur Le Mans au sujet de la jouissance. Voici ce que j’avais en tête au début de ce travail : Ce que Freud a apporté sur le fétichisme est pour moi embrouillant. La distinction phallus/pénis est difficile à appréhender sauf à rester dans l’imaginaire. L’imaginaire ça embrouille. Cependant, c’est bien dans l’imaginaire que quelque chose se produit pour le pervers. C’est à l’endroit de ce que la forclusion du nom du père produirait comme trou dans l’imaginaire (phi zéro), que le pervers va agir. Pour préciser ce que je vais développer, c’est pour permettre de ne pas forclore le nom du père, que le pervers va démentir la castration maternelle. Que le pénis soit appelé a à voir avec « ce que l’organicité impose à la structure » (Lacan).